Editeur: Charleston
Nombre de pages: 673 pages
Prix: 19 euros
Année de parution: 2019
Résumé:
Tiggy D’Aplièse a toujours senti les choses, un instinct dans lequel son père adoptif décédé, l’excentrique milliardaire Pa Salt – surnommé ainsi par ses six filles, adoptées aux quatre coins du monde – lui disait d’avoir confiance. Suivant cet instinct, elle déménage en Ecosse, dans les vastes Highlands, pour travailler sur le domaine de l’énigmatique Laird Charlie Kinnaird, et prendre soin de la faune locale.
Cette décision la met sur le chemin d’un ancien gitan qui la guide sur les traces de ses origines… jusqu’à la ville de Grenade et la communauté gitane du quartier de Sacromonte. Quels sont ses liens avec cette communauté qui a dû fuir pendant la guerre civile ? Et avec « La Candela », la plus grande danseuse de flamenco de sa génération ?
Alors que Tiggy découvre son histoire et commence à appréhender l’étendue de son pouvoir, elle devra choisir: rester avec sa famille retrouvée ou retourner à Kinnaird, auprès de Charlie…
Mon avis:
Cinquième tome de cette saga que je lis et j’aime toujours autant.
Alors oui ce tome est moins palpitant, moins entraînant mais j’ai beaucoup aimé la fluidité qu’on y trouve entre l’alternance des deux époques. J’ai trouvé que les passages entre chaque partie se faisaient plus facilement et du coup j’ai plus apprécié.
Dans ce tome-ci, j’ai préféré les passages aux présents car je me suis plus attachée aux personnages même si Tiggy m’a souvent énervée par sa non-prise de décision, cette façon de se laisser faire par les autres. Ceux qui l’entourent sont tous intéressant et touchant à leur manière.
En ce qui concerne le récit au passé, j’ai aimé le côté historique et le monde des gitans mais les personnages ne m’ont pas interpellé plus que ça et donc je restais assez en distance.
Ce fût un très bon moment de lecture, de voyage et j’ai fortement apprécié le fait que l’auteur change légèrement son schéma pour la fin de ce tome.
Je poursuivrais avec plaisir cette saga avec le tome 6 mais je vais attendre que les copines avec qui je le lis en lecture commune, puissent l’avoir en poche.