Bibliothèque et librairie, Blabla

[Maviyly] Petit tour à la bibliothèque #31

Bibliothèque

Comme je vous l’ai dit hier sur la page facebook, j’ai été hier passer l’après-midi à la bibliothèque de ma ville. J’ai ramené 3 livres (et noté ceux que je dois prendre la prochaine fois) mais j’ai aussi aidé la bibliothécaire en tant que bénévole.

Je savais qu’ils étaient toujours preneurs de personnes voulant aider et comme je vais être sans emploi pendant plusieurs semaines, je me suis dit que ce serait une excellente idée pour m’occuper. Bon je n’ais pas fait grand chose mais rien que ranger les livres en découvrir de nouveaux et discuter avec une passionnée, c’est juste génial.

Je n’ai pas eu l’audace encore de beaucoup conseiller les personnes mais je me dis que si je peux faire en sorte que la bibliothécaire se détache des tâches de retours/prêts, enregistrement, ça ne sera que bénéfiques pour les emprunteurs.

Je pense y retourner mardi et une de mes tâches sera de ranger le coin enfant parce que c’est un peu le bazar quand même ^^. Et si elle m’a donné une mission aussi, elle voudrait agrandir le rayon adolescents, young-adultes, sciences fiction et polar/thriller donc je suis preneuse de vos idées.

Allez maintenant, je vous montre ce que j’ai ramené à la maison.

Les tambours de l’automne de Diana Gabaldon

les-tambours-de-lautomne

Juin 1767. Afin de vibrer pleinement à l’unisson de leur profond amour, Jamie et Claire voguent vers la Caroline du Nord. Restée seule dans un XXe siècle sans saveur, Brianna, leur fille, n’a qu’une hâte : percer le secret de sa naissance, pénétrer dans ce « cercle des fées » qui peut lui ouvrir les portes du passé comme l’anéantir à jamais, et agir sur le destin qui réserve à ses parents une mort atroce. Pour qu’enfin, dans la paix, tous les Frazer répondent d’une seule voix à l’appel de leur clan.

Mémé dans les orties d’Aurélie Valognes

meme-dans-les-orties

Ferdinand Brun est atypique.
Le genre de vieux monsieur qui boude la vie et s’ennuie à (ne pas) mourir.
Tel un parasite, il occupe ses journées en planifiant les pires coups possibles qui pourraient nuire et agacer son voisinage.
Il suffit d’un nœud qui se relâche et laisse partir son seul compagnon de vie, Daisy sa chienne, pour que tout s’écroule.

Quand Juliette, une fillette de dix ans, et Béatrice, la plus geek des grands-mères, forcent littéralement sa porte pour entrer dans sa vie, Ferdinand va être contraint de se métamorphoser et de sortir de sa chrysalide, découvrant qu’il n’est jamais trop tard pour commencer à vivre…

Une journée particulière d’Anne-Dauphine Julliand

une-journee-particuliere

Le 29 février est une date qui n’existe que tous les quatre ans. C’est aussi le jour de naissance de Thaïs – la petite princesse d’Anne-Dauphine Julliand -, atteinte d’une maladie génétique orpheline. Thaïs a vécu trois ans trois quarts. Elle a eu une courte vie, mais une belle vie.
Le jour où le 29 février réapparaît sur le calendrier, Anne-Dauphine s’offre une parenthèse, sans travail ni obligations. Elle veut vivre pleinement cette journée particulière: Thaïs aurait eu huit ans ! Le passé se mêle au présent. Chaque geste, chaque parole prend une couleur unique, évoque un souvenir enfoui, suscite le rire ou les larmes.

Anne-Dauphine Julliand aime à penser qu’il est possible de gravir des montagnes en talons hauts. Elle a le talent de croquer les émotions de tous les jours. Elle nous raconte sa vie, Loïc, ses fils Gaspard et Arthur, mais aussi Azylis, son autre princesse, malade elle aussi.
C’est une leçon de bonheur et une merveilleuse histoire d’amour, qui se lit d’un souffle, le coeur au bord des larmes.

Laisser un commentaire